Palmyre ne ressemblait à aucune autre cité de l'Empire. Que son art soit primitiviste, oriental, hybride ou hellénisant, que ses temples aient ou non des fenêtres, que ses notables portent un vêtement grec ou arabe, qu'on y parle l'araméen, l'arabe, le grec et même, dans les grandes occasions, le latin, on sent souffler sur Palmyre un frisson de liberté, de non-conformisme, de "multiculuturalisme". Palmyre, l'irremplaçable trésor Paul Veyne Albin Michel, 2015
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